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Poème retrouvé

Le poème ci-dessous (cliquez dessus pour le voir en grand) est anonyme et date probablement du XIX° siècle. Il est adressé à la soeur de l'auteur à l'occasion du mariage de celle-ci. 

Pour une lecture plus aisée, vous avez la transcription à côté.

(Archives Chabot-Péron)
(Archives Chabot-Péron)




O qu'il est doux pour nous de fêter notre soeur,

Aux transports de la joie nous livrons notre coeur.

Le Ciel avec bonté couronne tes mérites,

Te donnant un époux que tes vertus méritent.

Digne enfant du très haut, objet de ses amours,

Que le Seigneur te comble de faveurs, de secours.

Puisses-tu dans la joie, le calme, le silence,

Voir couler de longs jours dans l'heureuse abondance.

Daigne pour ton hymen agréer nos souhaits

Pour gage de l'amour, nous t'offrons ce bouquet.


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